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30 janvier 2023Qui aurait pu penser qu’à l’issue de la crise sanitaire de 2019, le marché de l’emploi au Canada retrouverait sa place dans le quotidien ? En février 2020, la population active a retrouvé son niveau d’avant, c’est-à-dire toujours à moins 0,9 %.
Le marché du travail a repris petit à petit de la vigueur d’après les statistiques. C’est bien de dire que la situation professionnelle au Canada s’est remise des dommages causés par cette pandémie. Malgré les mesures de restriction, il existe quand même plusieurs postes à pouvoir. Mais la question c’est : comment se porte le marché de l’emploi dans ce pays ?
Les nouvelles perspectives du marché de l’emploi au Canada
Le marché de l’emploi au Canada a subi énormément de dégâts à cause de la pandémie. Ce qui est sûr, c’est qu’il faut un certain temps pour que l’économie soit complètement remise. Si vous voulez vous frayer un chemin pour trouver un nouvel emploi au Canada, allez sur des sites comme EspaceTalent.
N’oubliez pas que l’économie devrait s’adapter au changement, car rien ne sera plus comme avant. Vous n’allez pas vraiment trouver de concret qu’en 2023, si l’on se réfère au chiffre. D’un côté, il y a actuellement certains secteurs qui essaient de remonter la pente. Avec les mesures de restriction, bon nombre de personnes se tournent vers le marché en ligne.
Cependant, ce secteur rencontre énormément de cyberattaque et la plupart des entreprises cherchent à protéger leurs intérêts en engageant des techniciens informatiques (analyste de données, consultant en informatique et autre). Avec le travail à domicile, la cybersécurité a pris de l’importance.
Avec les grands bouleversements que la pandémie a occasionnés dans de nombreux secteurs, les postes en administration se démarquent également à savoir :
- la comptabilité,
- les adjoints d’administration,
- les réseaux de santé,
- les administrations scolaires, etc.
Les mesures de restriction obligent les gens à rester chez eux. Ils sont donc obligés de trouver du travail en ligne. Ce secteur est monté en flèche en seulement quelques mois. Au Canada, c’est devenu la solution par défaut de nombreuses organisations.
Un taux de chômage plus étendu et varié
Le marché de l’emploi au Canada était sur la bonne voie au début de l’année 2020. Les effets de la crise étaient toujours là, mais les Canadiens les ont surmontés petit à petit. Ceux qui ont subi de grandes perturbations sont en particulier les régions où l’énergie est d’une importance capitale. Actuellement, le taux d’activité a augmenté, et ce, dans tous les groupes d’âge. Les prestations évoluent considérablement et la qualité de travail s’améliore.
À noter que plus de 3 millions d’emplois ont disparu en l’espace de deux mois. Entre le mois de février et le mois de mai, le taux de chômage a connu un taux extrêmement élevé. C’est du jamais vu dans l’histoire de l’emploi.
Si vous considérez les autres cas de travail tels que ceux qui cherchent du travail sans vraiment trop s’impliquer ou ceux qui avaient dû faire la moitié de leurs heures de travail habituel, 5 millions de plus seraient donc à ajouter au nombre de chômeurs recensés.
La distanciation physique est devenue en quelque temps une mode de vie pour tout le monde. Les secteurs de service où cette mesure de sécurité était impossible à respecter l’ont vraiment eu de plein front.
Cela concerne toutes les entreprises qui ont pour habitude d’accueillir des clients en masse comme les restaurants, hôtels, spectacles et autres. Ils ont connu une baisse de 60 % dans leur production. Il en est de même avec le trafic aérien qui a baissé de 95 % au cours de cette période de crise.
Tous les secteurs qui ont la possibilité d’intervenir sans difficulté avec la distanciation physique ont pu s’adapter. Ces derniers ont réussi à s’en sortir malgré tout. Au cours de cette situation de crise, il y a ceux qui n’ont pas eu de chance et qui ont été obligés de travailler malgré les risques.
Le taux de chômage était vraiment à la hausse durant ces périodes étant donné que 40 % des emplois se concentraient dans les secteurs qui prennent en charge des clients en masse. Mais comment la population canadienne s’en sort-elle à l’issue de cette pandémie ?
Le marché de l’emploi au Canada à l’ouverture de l’économie
Au cours du processus de réouverture de l’économie, le déclin professionnel s’est considérablement inversé. Entre le mois de mai et novembre seulement, plus de 2,4 millions d’emplois ont été créés. Ce qui a permis de recouvrir environ 80 % de taux de chômage enregistré. Assi, le sentiment d’inégalité chez les travailleurs a diminué. Les femmes se sont mises au travail pour rattraper l’énorme lacune due à leur non-activité notamment dans le domaine de l’éducation.
Cette nouvelle prospérité n’a malheureusement pas perduré, car la nouvelle vague de contamination s’est répandue. En seulement deux mois, plus d’un quart de millions ont à nouveau perdu leurs emplois. L’enseignement a dû s’arrêter brusquement dans certaines régions et les femmes étaient obligées de rester à nouveau chez elles.
Le cas ne se présentait pas de même pour tous les employés. Effectivement, les différences entre les secteurs a encore frappé et certains ont dû subir l’inégalité des emplois à cause de la pandémie. Les personnes à faible revenu avaient déjà eu du mal à s’en sortir avant et ce sont encore eux qui sont ceux qui en subissent les effets de cette nouvelle vague.
Les autres secteurs en revanche, n’ont connu qu’une légère baisse au début de la crise. Ils ont pu remonter la pente plus rapidement et à l’arrivée de la deuxième vague de contamination, certains secteurs ont pu résister. Une partie du marché de l’emploi au Canada est donc restée stable au cours de ces derniers mois. Cela suppose que l’économie peut s’adapter à n’importe quelle situation.
Comment se présente la restructuration du marché de l’emploi au Canada ?
Face au Covid-19, l’économie canadienne a dû s’adapter. Après la première vague, elle a connu un rebond. Arrive la seconde vague et là, l’économie a besoin de récupérer. Malgré les défis à surmonter, il y a quand même de l’espoir. Un redressement de l’emploi va devoir être mis en place.
Dans un premier temps, les restrictions les plus élevées ont été levées dans certaines régions du pays. La restructuration ne devrait pas trop s’éloigner du cas au cours de la première vague de la pandémie.
La seule différence, c’est que cette fois-ci, la perturbation économique ne va pas perdurer, car la pandémie pourra être maitrisée grâce à un vaccin. Du moment que la majeure partie de la population sera vaccinée, la restriction sur la distanciation physique sera levée et la reprise de travail sera complète. Cela va entrainer une progression considérable de l’emploi.
Toutefois, même si la reprise des activités reprend son cours normal, ce sera différent. La restructuration va faire évoluer le monde de l’emploi vers une structure plus avancée. Ce sera la quatrième révolution industrielle. Dorénavant, les activités vont plus se tourner vers la numérisation et l’automatisation. Cela va générer de nombreux emplois différents et aussi bien payés.
La pandémie n’est qu’une épreuve de plus à traverser. Désormais, le marché de l’emploi au Canada sera plus résistant. Grâce à la restructuration, de nouveaux emplois plus solides vont être mis en marche. Si vous êtes toujours à la recherche d’emploi au Canada, sachez que l’économie s’est actuellement remise. La progression ne sera pas vraiment évidente avant 2023, mais ce qui est sûr c’est que le marché est en train de s’en remettre.